Pour son numéro de mars, Classica consacre un dossier spécial à Daniel Barenboim.
Il avoue dans La Musique éveille le temps que « l’impossible [l]’a toujours attiré plus que le difficile ». À l’impossible nul n’est tenu mais Barenboim ne l’entend pas de cette oreille. C’est un conquérant qui peut se targuer d’un formidable parcours, qui a su nouer des liens étroits avec les plus fins esprits de son temps et redonner à la Staatskapelle de Berlin, dont il prit les commandes en 1992, un lustre incomparable. La création du West-Eastern Divan Orchestra, réunissant musiciens israéliens et palestiniens, témoigne également des parallèles que le musicien établit entre la conduite de la musique et celle de la pensée, de la politique et du quotidien.
Si une « maladie neurologique grave » l’a contraint à quitter la scène en janvier, Daniel Barenboim continuera à se faire entendre. Sa pensée, son discours, sa conscience résonnent bien au-delà du seul monde musical.
Le dernier numéro de Classica revient sur un parcours artistique, intellectuel et humain exceptionnels, et sur une carrière exemplaire et admirable mais au bilan musical contrasté.

Pour ne rien manquer de ce numéro de mars, rendez-vous chez votre marchand de journaux ou commandez-le en ligne, ici : Classica n°250.
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